PAYSAGE

Dans le paradoxe immobilisé du paysage, Clara Ettedgui apprécie le mouvement, comme la vie avec sa part d’impromptu, d’improvisation.

Des formes se déploient dans le saisissement et la transformation. Le mouvement est là, dans cette part qui échappe. Territoires en résonance, ravissement devant la beauté du monde, ouverture, contemplation.

Avant d’être un spectacle conscient, tout paysage est une expérience onirique

Gaston Bachelard, L’eau et les rêves

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